Le désert s’étendait à bien dol de banale, une mer infinie de sable dorée ondulant par-dessous la lumière blanche du soleil. Le vent chaud sculptait les dunes en vagues éphémères, effaçant toute empreinte de passage. Ici, dans cet site hors du temps, où le silence était également dense que l’air https://ceriseojdvo.wikilinksnews.com/5885267/les_signaux_du_sable_du_desert