Londres, 1924. La grande ville était enveloppée d’une brume épaisse qui s’accrochait aux réverbères, étouffant la luminosité faiblarde des lampes à gaz. Dans un modeste domicile du quartier de Bloomsbury, isolé du chahut des rues animées, un emploi de radio émettait un léger grésillement, comme un murmure natif d’un autre https://reidkcrft.rimmablog.com/32715089/la-parole-du-absence