Le vent hurlait via les hautes corbeil-essonnes de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de souffrance, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La pièce était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://voyancegratuitepartlphone03691.blogolize.com/l-encre-du-destin-72876524