Dans l’atelier de reliure, la jour tremblante des chandelles faisait danser des obscurités sur les murs en pierre. L’odeur du cuir tanné et de l’encre fraîche flottait dans l’air, imprégnant chaque recoin du seul manufacture romain où le relieur travaillait journalierement avec une précision presque ultime. Il n’avait jamais refusé https://ericktdkps.blogdanica.com/33778311/l-encre-du-destin