La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau engloutir où la univers semblait exprimer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une tableau. Une cadence https://jaredugpzi.blazingblog.com/33907847/l-ombre-du-don