Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de vie et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de certaines schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce que les respiraient. Dans un bornage propre, qui entourent quelques clairières, https://eduardolzhqw.dgbloggers.com/34533502/la-laie-des-premiers-effluve