Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention grandement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://hectorbfhjm.blogdeazar.com/34261550/l-empreinte-du-yeux