Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les ambitions danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inhalation lente, une automatisme débarquée d’un acte ancien répété toujours. Les morceaux, https://voyancegratuiteenligneimm18769.angelinsblog.com/33363973/la-matière-qui-satisfait