Sous la vaste rondelette translucide du dôme martien, les jours s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids idéal des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient dès maintenant permanentes, légèrement mouvantes, comme par exemple une vapeur dense qui refusait de se volatiliser. Ces portraits, nées des regrets cachés https://devinwyzyx.therainblog.com/33189224/le-retour-du-dôme